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17/09/1473 Elections au conseil du Duché de Savoie : FERT recueille la majorité absolue des sièges
PARIS (AAP) - La liste Ligue du Bien Public est arrivée en tête lors de l'élection au conseil de Duché de Savoie, et obtient la majorité absolue des sièges. Elle pourra donc gouverner seule.
Répartition des suffrages exprimés :
1. "Ligue du Bien Public" (FERT) : 100%
La répartition des sièges au scrutin à la proportionnelle conduit à une nouvelle répartition des postes du conseil :
1 : Helie (FERT)
2 : Theodora.Argea (FERT)
3 : Raphael_ii (FERT)
4 : Landry. (FERT)
5 : Alex.. (FERT)
6 : Cyrielle_s (FERT)
7 : Lucrezia_flavia (FERT)
8 : Haeven (FERT)
9 : Verrina (FERT)
10 : Tobias_maxence. (FERT)
11 : Aalix (FERT)
12 : Jamess. (FERT)
Les membres du conseil reconnaîtront le prochain Duc d'ici à deux jours. Ce dernier devra alors présenter ses hommages à son souverain, et nommer aux principales charges du Duché.
13/09/1473 almanach des têtes couronnées
Straßbourg (AAP) - Mes chers lecteurs, quelle effervescence ! Les salons bruissent, les antichambres s’agitent, et dans toutes les tavernes d’Italie surtout on ne parle que de cela : qui donc ceindra bientôt la couronne souveraine ? Onze prétendants se pressent au portillon du Palais impérial, et derrière chacun se dessine une histoire, une lignée, un destin.
Filippoilmoro, tout d’abord, est un nom qui évoque la grande tradition lombarde. Sa candidature, déjà entièrement financée, témoigne d’une assise solide, soutenue par une partie des élites milanaises. Moins flamboyant que certains de ses rivaux, Filippo s’impose par sa constance et sa prudence.
À l’opposé, Sigismondo dit Atum. surgit tel un sphinx mystérieux. Charismatique, sa présence même a quelque chose de prophétique. Marié depuis 1470 à Sky., il a su tisser autour de lui un cercle de confiance. Son inscription, elle aussi, est entièrement couverte, signe que ses partisans n’ont pas hésité à miser gros sur son étoile.
Messer_mattia et Elija. apparaissent comme des outsiders. Messer_Mattia est reconnu pour son comportement noble et mesuré dans les affaires publiques. Il incarne la patience et la prudence, qualités qui, dans un concours de cette envergure, peuvent s’avérer décisives. Ses partisans le voient comme un candidat sûr, capable de gouverner sans éclat excessif, mais avec une autorité respectée et durable. Elija quant à lui est Doge de Genes. Sa candidature n’est pour l’instant que partiellement financée, mais son nom circule déjà avec un certain respect dans les salons et places publiques. L’un comme l’autre se présentent encore en quête de financement, mais tous deux incarnent cette fougue nouvelle qui attire les regards d’une génération avide de renouveau.
Hamr, de son côté, avance pour la gloire et le trophée. Homme du Nord, Comte de Ruthen, Vicomte de Tassarolo et caetera, ses partisans se mobilisent peu à peu, et l’on devine dans cette candidature la volonté de représenter une voie alternative, encore fragile mais pleine de promesses.
Puis viennent les grandes figures, celles qui font déjà partie de l’histoire de nos Royaumes. Federer, à 55 ans, n’est pas seulement un candidat ; il est une institution. Trois fois duc de Modène, deux fois de Florence, plusieurs fois ministre, juge, recteur d’université, ce grand patricien incarne la continuité de l’État. Polyglotte, voyageur infatigable, il est de ceux dont on dit qu’ils savent faire dialoguer les peuples.
À ses côtés, Friederigo séduit par un tout autre charme : celui de l’aventurier au grand cœur. Parti de Savone, il s’est fait pèlerin, compagnon de route, puis mari et père. Ses titres, il les a conquis à force de voyages, d’études et de services rendus : barone di Canelli, conseiller impérial, diplômé en médecine, en arts militaires et en architecture. Moins redoutable politicien que Federer, Friederigo est l’image du gentilhomme jovial, cultivé et fidèle.
Hol, lui, est d’une autre trempe : chef du clan Delchiaro, vétéran des guerres toscanes, héros de Montevarchi et de Sienne, où il fit tomber plus d’un ennemi de sa main. Marié à la douce Princessketty, il incarne le soldat d’expérience devenu patriarche. Sa légende, bâtie sur le fer et le sang, lui confère un prestige incontestable dans les cercles militaires.
Lucian, enfin, est le plus romanesque de tous : fils d’un duc français, devenu pirate dans les mers ottomanes, surnommé Shaitan pour ses cheveux flamboyants et sa férocité. Sa fortune et sa gloire, il les a gagnées au sabre, avant de tout sacrifier pour retrouver sa sœur adorée. Personnage fantasque, à la fois tendre et dangereux, il séduit par son panache.
Et puis il y a Sir_aventon, le plus politique sans doute de tous. Cavalier de la liberté, deux fois duc de Milan, huit fois maire de Lodi, fondateur de partis, tribun infatigable. Gran Maresciallo, ministre, juge, ambassadeur… la liste de ses charges est interminable. Aventon incarne l’énergie du réformateur, celui qui s’attaque aux oligarchies, brise les privilèges et redonne la parole au peuple. Ses adversaires le disent turbulent, ses partisans le voient comme l’âme d’une révolution.
Last but not least, Gisella_lan. Devenue femme au fil de mille aventures, Gisella séduit par sa discrétion, sa douceur et sa fidélité. Là où d’autres brandissent leurs titres, elle incarne la simplicité et la sincérité. Certains murmurent déjà qu’elle serait l'impératrice idéale des cœurs, une souveraine maternelle et bienveillante.
Qui l’emportera ? Nul ne saurait le dire. Mais une chose est certaine : la couronne, comme souvent, se décidera autant dans les cœurs que dans les bourses. Lecteurs, si l’un de ces portraits vous a touchés, si vous souhaitez donner sa chance à un favori, un outsider ou une légende, rendez-vous à la sénéchaussée, « Élection du souverain », rubrique « Financer l’inscription ». Car l’Histoire s’écrit aussi avec vos écus.
Etienne Bern pour l'AAP agence des terres au Milieu.
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12/09/1473 Coimbra : rallie-toi ou ronge ton pain
Coimbra (AAP) - Le spectacle est désormais bien rodé à Coimbra. Le bon peuple, qu’on avait pourtant prévenu, continue de faire semblant de ne pas comprendre la règle du jeu. Et la règle, pourtant, tient en une ligne : qui ne porte pas bannière finit derrière barrière.
À lire : Coimbra, où comment conquérir un comté
Résultat, vingt-neuf crétins au cachot, à méditer dix jours durant de la beauté du salpêtre sur des murs gris, pendant que cent trente-neuf autres font la queue au tribunal, attendant qu’on leur récite le couplet officiel : acusado de ser inimigo de Coimbra. Une accusation tellement pratique qu’on pourrait la graver dans le marbre et la ressortir à volonté, sans même user de parchemin.
À lire : era uma vez no Reino de Portugal
Car tout cela pourrait être évité. Il suffit de se ranger sous la houlette de Vilacovense d’i Corleone, chef de la IIIᵉ Exército Real Português, grand prêcheur de la stratégie royale. C'est que depuis un mois, il se répète à qui veut l’entendre : un comté ne se conquiert plus par l’épée, mais par la promesse, le serment et l’urne. L’armée, ici, n’est plus seulement une troupe en armes, c’est une couverture d’immunité contre la justice civile : elle protège des amendes, des prisons et même du bourreau.
À lire : Quoi que...
Le message est pourtant clair comme une cloche au matin : ralliez-vous ou subissez. Mais en voila qui s’accrochent, persuadés qu’ils peuvent rester sur le pont pendant que le royaume tangue. Ceux-là découvrent vite que la nargue ou la rodomontade se paie en paille de cachot et en quignons de pain rassis.
Car c’est là qu’entre en scène Rauros . Ah, le désormais fameux Rauros ! Fils d’un voleur et d’une paysanne, enfant des borgate romaines, devenu deux fois maire de Gaeta avant de ceindre la toge de Cavaliere Juiz à Alcobaça. Aujourd’hui, c’est lui qui tient les clefs, ferme les lourdes portes et désigne les couchettes de fortune aux imprudents. Bourreau des boulets, Prince de la taule, seigneur des serrures. On le dit capable de reconnaître un futur pensionnaire rien qu’à son air inspiré.
À lire : la Couronne à Lisbonne, la matraque à Coimbra
À lire : Rauros, prince de la Taule
Gaspard de la Goupille dit Gégé, pour pour l'AAP agence Meuse, Saône et Rhône.
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11/09/1473 un condottiero a Ginevra
Ginevra (AAP) - Anno del Signore 1473. Finalmente una città dove si respira. Niente leggi soffocanti, niente balivi che frugano nei forzieri, niente signori gelosi delle tue lame. Qui, grazie al decreto «Decernimus perpetuis» del 1468, ogni legislazione è bandita. Ginevra si dice senza legge né padrone, e per una volta non è una promessa vana. Ho piantato la mia bandiera rosa, come si conviene ai condottieri di queste terre, senza che alcun chierico venga a contare le mie spade né che alcun prevosto mi chieda a chi devo obbedienza.
Il porto è pieno, ingombro di scafi e carichi. Dal 1471, è persino permesso «affondare all’ormeggio» per farsi posto, e nessuno ci trova nulla da ridire. Il commercio regna sovrano, il traffico è incessante, e le casse si riempiono in fretta se si sa offrire i propri servigi. Le strade che portano in città passano dal Salève: una salita da nulla, e si domina Ginevra, il Lemano e persino il Monte Bianco. Bel punto per sorvegliare, o per piombare sui convogli quando il vento gira.
Per vivere, niente di più semplice: le taverne ti riempiono la pancia per pochi denari, e lì si reclutano lame meglio che al mercato. Il mercato, quello, è roba da ricchi: fritture benedette, pesci affumicati, carichi scelti. Io lo lascio ai notabili. I miei uomini dormono vicino alle mura, a due passi dal porto, pronti a salpare o a sguainare la spada a seconda dell’occasione.
La città vecchia pullula: botteghe della Grand-Rue, cattedrale di San Tito che la Riforma ha spogliato dei suoi ornamenti, moli rumorosi, bandi affissi dove si legge di tutto: stregoni impiccati, taverne chiuse per molluschi avariati, e mille piccole faccende che fanno il sale di questa città . Il santuario del Genfy attira pellegrini e curiosi ogni domenica e venerdì; vengono a pregare, pescare e ripartono con il loro pesce benedetto. Io ci vedo soprattutto una folla facile da osservare e da arruolare.
A Ginevra non ti chiedono né da dove vieni né perché i tuoi uomini portano archibugi. Due regole bastano: portare la bandiera rosa e non incrociare le armi con i tuoi pari su suolo svizzero. Per il resto, è terra di pace, ma una pace d’oro e di contratti, non quella dei sermoni. Qui, le parole volano, gli scritti restano, e io firmo dove c’è profitto
Pinocchio per la KAP, agenzia della terra in Mezzo
Per rivendicare un diritto di risposta - la KAP internazionale
10/09/1473 diritto di riposta
Ginevra (AAP) - A seguito delle domande suscitate dalla recente pubblicazione di un articolo firmato dal signor Pinocchio presso la KAP agenzia delle Terre di Mezzo, ci sembra necessario fornire un chiarimento.
Il signor Pinocchio desidera esprimere pubblicamente la sua immensa ammirazione per il lavoro della signora Filangieri, di cui segue con interesse e rispetto le pubblicazioni, in particolare il progetto Province da Incubo. Il suo articolo non aveva altra ambizione se non quella di rendere omaggio a uno stile così singolare ed efficace, facendolo conoscere a un pubblico più ampio, dal Po alla Saona e oltre.
Qualsiasi assimilazione tra la signora Filangieri e lui stesso è dunque frutto di un malinteso. La signora Filangieri, come lei stessa ha ricordato, scrive già per la KAP Venezia con il proprio nome, e Province da Incubo resta un progetto autonomo, indipendente dalle agenzie ufficiali della KAP.
Il signor Pinocchio si rammarica sinceramente che la sua intenzione, che voleva essere rispettosa e ammirativa, possa aver generato confusione. Rinnova la sua stima alla signora Filangieri e invita i lettori a continuare a seguire i suoi scritti, che restano la sola e autentica firma di Province da Incubo.
Un equivoco da incubo, nulla di più.
Leggi anche : Un equivoco da incubo!
iZaac per la KAP, agenzia della terra in Mezzo
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