Strasbourg (AAP) - La rumeur courait, c’est désormais officiel : le primat de Rome n’est plus le bienvenu au très huppé Regent’s Hall, ce cercle fermé des puissants où se prennent les décisions clés de l'Empire. Le choc est total. Imaginez : après des siècles d'accès privilégié, le chef spirituel de l’Empire se voit retirer son badge VIP ! L'Impératrice Lysiane d’Ormerach de Sparte, flanquée de ses compères Raphaël Alexandre du Bois de Cendrecourt Challand et Lucas d’Irissarri, n’a pas tremblé. Une réforme à 98 % d’approbation : c’est ce qu’on appelle un KO politique.

Pourquoi cette mise à l’écart ? Selon des sources bien informées, le primat ne pointait plus souvent à ces prestigieuses réunions. « Toujours occupé avec ses prières et ses messes », glisse un proche des cercles du pouvoir. Résultat : exit les soirées mondaines avec les dirigeants impériaux, fini les cocktails dorés et les bunga bunga en grande pompe. Mais ne vous y trompez pas, cette histoire sent le gros coup de com'. Officiellement, le primat perd son siège pour "rééquilibrer les pouvoirs". En réalité, c’est un simple show pour les lumières, car dans les coulisses de l'Empire, rien ne change vraiment.

Soyons clairs : personne ne peut prétendre à la cathèdre dans l’Empire s'il ne suit pas la sainte foi aristotélicienne à la lettre. Le primat de Rome ? Peut-être qu’il ne fera plus partie des dîners privés, mais son influence, elle, reste intouchée. Tout aristotélicien digne de ce nom, béni par Rome, continue d’occuper les postes clés sous l’œil bienveillant du souverain. Et la liberté religieuse dans tout ça ? Poudre aux yeux. On s’en éloigne toujours à grands pas dès qu'il faut investir dans un diocèse vacant, mais avec un joli coup de pinceau pour faire croire au progrès.

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Jean Aristote Kaiser pour l'AAP agence des terres au Milieu

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